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 Barman wanted ∇ Ft. Aidan Hearst

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Thomas Shelby
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MessageSujet: Barman wanted ∇ Ft. Aidan Hearst Barman wanted ∇ Ft. Aidan Hearst EmptyMar 31 Aoû - 11:22
>!< WARNING: Violence & Langage grossier >!<

Barman Wanted @Aidan Hearst, Thomas Shelby & Arthur Shelby (PNJ)

"Longneck, ice cold beer never broke my heart, Like diamond rings and football teams, Have torn this boy apart, Like a neon dream it just dawned on me, The bars and this guitar, And longneck, ice cold beer never broke my heart."



Le Garrison Tavern de New York n’avait rien à envier à son pendant britannique des années 20. La même devanture noire aux vitres fumées pour dissimuler ce qu’il se passait derrière ses murs en bois de chêne. La même écriture dorée qui brillait presque sur ce fond noir. Les mêmes vieilles appliques lumineuses semblables à de vieux réverbères ramenés de la vieille Angleterre. Voilà ce que voyait le passant mais si celui-ci prenait de la distance et contemplait la ruelle étroite du Bronx où le pub se trouvait, il pouvait nettement constater le choc temporel entre cet endroit et les immeubles qui l’entouraient. Ceux-là étaient souvent délabrés, tagués. Bref, en piteux état. Seul le Garrison Tavern irradiait dans sa noirceur et malheur à quiconque aurait le culot de venir marquer les murs et fenêtres du repère des Peaky Blinders à l’aide de ces bombes de couleurs. Un jour, le propriétaire des lieux avait retrouvé un de ces murs recouverts de tags et de dessins obscènes. Il avait alors appelé ses frères et tous les quatre s’étaient tenus devant le mur en question, cigarette pendant aux lèvres et béret sur la tête. Puis leur chef, Tommy, les mains dans les poches de sa veste avait simplement déclaré :

- Trouvez qui a fait ça.

Ils avaient alors fait jouer leur réseau d’espions et d’indic’ tout en faisant installer un système de télésurveillance discret à la pointe de la technologie. Deux jours plus tard, l’artiste était revenu en pleine nuit, après la fermeture de l’établissement, pour y finir son œuvre. Ils lui tombèrent dessus avant même qu’il ait eu le temps de remarquer ce qu’il lui arrivait. Entraîné avec violence vers l’arrière du pub, il fut ligoté sur une chaise et battu jusqu’à ce qu’il soit au bord de perdre connaissance. A cet instant, il entendit quelqu’un frapper dans ses mains, à l’autre bout de la pièce, dans un coin d’ombre où seule la lueur fugace d’une cigarette était visible. Un homme sortit de l’ombre et s’avança calmement vers lui. Il s’arrêta juste devant lui et écrasa ce qu’il restait de sa cigarette sur sa joue droite, y laissant une marque de brûlure et un gémissement de douleur :

- Alors comme ça…C’est toi l’artiste ? demanda-t-il, question qui n’attendait pas nécessairement de réponse. Tu t’es dit que t’allais taguer notre pub pour le mettre au goût d’ce putain de New York hein ?

Il se pencha en avant, son visage à quelques centimètres de celui de sa victime :

- Tu sais chez qui t’es l’artiste ? Tu sais qui on est ? Qui je suis ?

Celui qui se faisait surnommer « l’artiste » n’était en réalité qu’un gamin d’à peine dix-sept ans et qui pleurait de peur et de douleur en cet instant. Mais ses larmes laissèrent les hommes présents autour de lui indifférents. Alors il se sentit la force de balbutier :

- S’il-vous-plaît…Je savais pas…

- C’est pas grave gamin…C’est pas grave…, continuait l’homme sortit de l’ombre. On va seulement s’assurer que tu oublies pas la leçon. Arthur ?

Un de ceux qui l’avait frappé se posta en lieu et place de celui qui venait de parler et qui avait fait deux pas de côté.

- Par ordre des Peaky Blinders ! cria-t-il en ôtant son béret avant de l’abattre encore et encore sur son visage, le tailladant profondément grâce aux lames de rasoirs dissimulées sous le revers du béret. Et pendant qu’il le frappait, l’autre homme avait allumé une autre cigarette et parlait d’un ton effroyablement calme :

- Tu salis notre pub’ équivaut à dire que tu salis notre nom et que tu ne nous respectes pas. Tous ceux qui ont un jour manqué de respect aux Shelby nourrissent les vers de terre de Birmingham…et aussi de Londres…On en a pas encore assez nourrit ici, à New York…Que ceci te serve d’avertissement à toi et à tout ceux de ton genre. Le prochain qu’on prend à taguer nos putains de murs finira une balle dans le crâne…A l’ancienne…Compris ?

Le visage ensanglanté, il hocha la tête, en larmes.

- Bien. Foutez-moi ça dehors, ordonna-t-il et le jeune homme sentit les liens qui le tenaient fermement attaché contre la chaise de bois se desserrer puis des mains le prendre fermement sous les bras pour le traîner, à demi-inconscient, jusque dans l’arrière-cour où il fut jeté sans ménagement sur le béton froid et humide de cette nuit new-yorkaise. Après cela, tous se dirigèrent vers le bar derrière lequel se plaça Tommy, celui qui avait observé la scène dans l’ombre et avait menacé de mort quiconque souhaiterait mettre au goût de New York la devanture sombre du bar familial. Il sortit quatre verres à whiskey, chercha le whiskey irlandais sur l’étagère située à l’arrière du comptoir et se mit à remplir les verres tandis que son aîné, Arthur, se hissait sur l’une des chaises hautes en disant :

- Au fait, j’vais virer l’barman actuel.

- Pourquoi ? demanda Tommy en faisant glisser les verres remplis vers Arthur, John et Finn.

- Baaaah, grogna le propriétaire du bar, c’est un connard qui sait pas servir et en plus…Il pose trop d’questions. J’aime pas les types qui posent trop d’putain d’questions. Il porta le verre de whiskey à ses lèvres et le vida d’un trait avant de le tendre vers Tommy pour qu’il le remplisse à nouveau.

- Va nous falloir un autre barman alors. Demandes à Ada qu’elle mette une annonce dans les journaux et sur ce…comment qu’ils disent Finn ? fit Tommy en se tournant vers le plus jeune des frères Shelby.

- Internet, répondit ce dernier en ricanant face au manque d’investissement de son grand-frère pour essayer de comprendre cette nouvelle époque.

- Voilà…Internet. Qu’elle mette c’que n’importe quel bar de cette ville attend d’un barman et on s’chargera des…tâches non listées avec celui ou celle qui nous aura suffisamment intéressé.

Et dès le lendemain, l’annonce pour un poste de barman / barmaid fut publiée dans les journaux de la ville et sur tous les sites d’offres d’emploi. Les candidatures furent reçues et lues par Ada, leur sœur et également comptable du bar. Connaissant parfaitement l’attachement de ses frères pour la lecture, elle prit sur elle de recevoir, de lire et d’effectuer un premier tri parmi toutes les candidatures reçues. Et il y en avait beaucoup. Les candidats, hommes comme femmes, avaient en commun leur jeune âge, leur capacité à travailler vite et efficacement même aux plus fortes affluences, un certain charisme et assurance qui se dégageaient de leur photo de profil et de l’expérience, professionnel ou personnel. Savoir servir des verres et lire les étiquettes sur les bouteilles pour ne pas se tromper d’alcool dans les commandes des clients ne nécessitait pas d’avoir vingt années d’expériences et une ribambelle de diplômes. Aussi Ada sélectionna autant des barmans et barmaids dont c’est le métier depuis des années que de parfaits novices. Une semaine plus tard, elle posa une pile de dix candidatures devant Arthur, John et Thomas et leur dit :

- Voilà. Débrouillez-vous maintenant.

Et elle tourna les talons et quitta la pièce à l’arrière du bar de son air supérieur, laissant ses trois frères faces à ces candidats et candidates potentiel(le)s. Finalement, il fut convenu de tous les faire venir et Tommy confia les dossiers à sa secrétaire personnelle à la Shelby Brothers Company Ltd. pour qu’elle les appelle, l’un après l’autre, et les fasse venir tous le même jour. Ceux qui ne pouvaient pas à la date retenue par les frères Shelby se voyaient purement et simplement rayés de la liste des candidats, ce qui fait que de dix, les sélectionnés passèrent à quatre, pour le plus grand soulagement de Tommy et d’Arthur, qui se voyaient mal passer toute une journée à recevoir de parfaits inconnus plus ou moins motivés dans leur bar.

Le jour de l’entretien arriva et les deux Shelby avaient déjà reçu trois des quatre postulants (et leur bouteille de whiskey qui trônait sur la table des entretiens était presque vide). Le fait qu’ils boivent durant les entretiens mit mal à l’aise la première candidate, qui prétexta un autre rendez-vous pour abréger l’actuel et aucun des deux frères ne la retint lorsqu’elle se leva en hâte pour partir :

- Tant mieux…Elle avait des yeux d’fouine de toute manière, grommela Arthur en se resservant, ce qui fit sourire Tommy (fait suffisamment rarissime pour le noter !).

La candidate suivant était une vraie séductrice. Décolleté aguicheur, regards explicites, elle n’avait même pas passé cinq minutes face à eux que Tommy la coupa, lui montra la porte par laquelle elle était entrée du doigt et lui dit :

- On recherche une barmaid, pas une pute. Dégage.

Elle perdit immédiatement son sourire, se leva et voulu rétorquer quelque chose mais Tommy la coupa en levant un doigt :

- Tu la fermes. Et tu dégages.

Elle tourna les talons, humiliée et blessée dans son amour propre et sortit, sans voir le regard lourd de sous-entendu que se lancèrent Tommy et Arthur dans son dos.

- Heureusement que John n’était pas là…Il nous l’aurait retourné sur la table ce con ! nota Arthur et, cette fois, Tommy se mit à rire tant cela ressemblait bien à leur jeune frère.

Le troisième candidat était un homme d’une quarantaine d’années. Il présentait bien, parlait bien, avait de l’expérience. Le candidat parfait, en somme. Ils discutèrent pendant plus d’une heure, ignorant que cela faisait bien vingt minutes que leur dernier candidat attendait d’être reçu dans la salle. Soudain, la porte de la pièce dans l’arrière-salle s’ouvrit et le troisième candidat sortit après avoir serré les mains de Tommy et d’Arthur. Ce dernier fit quelques pas avec lui avant de s’adresser au dernier postulant en arrivant à sa hauteur et de lui tendre sa main droite :

- Aidan Hearst ? Arthur Shelby, j’suis l’proprio. Amènes-toi.

Et il s’en retourna vers la pièce d’où il était sorti, invita le jeune homme à entrer d’un geste de la main et fit les présentations pour son frère, qui était resté assis à table, observant le dernier et jeune candidat d’un air détaché, une cigarette prise en otage entre deux doigts :

- Mon frère et co-proprio du bar, Thomas Shelby.

- Monsieur Hearst, le salua ce dernier, avec plus de politesse et moins de « rentre dedans » que son aîné. Asseyez-vous, fit-il en désignant la chaise face à eux. Vous êtes le dernier qu’on reçoit aujourd’hui, Monsieur Hearst. On a souvent coutume de dire « le meilleur pour la fin » pas vrai Arthur ?

- Vrai.

- Parlez-nous un peu de vous, Monsieur Hearst. Vous êtes jeune…26 ans à ce que j’ai vu sur votre dossier et d’après ce que vous avez lu, vous êtes doué pour les cocktails. C’est pas trop le genre de la maison mais je voudrais d’abord entendre votre version de votre histoire, dit-il en portant sa cigarette à ses lèvres et en le sondant de ses yeux bleu froids comme l’acier.


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MessageSujet: Re: Barman wanted ∇ Ft. Aidan Hearst Barman wanted ∇ Ft. Aidan Hearst EmptyMar 7 Sep - 23:43
à peine arrivé dans ce nouveau monde, Aidan devait faire face à la sinistre réalité, il avait pu fuir le monde du travail lorsque ses parents l'aidaient, et par la suite lorsque l'argent et le travail n'avait plus aucune valeur dans un monde où les humains étaient presque tous devenus des zombies et où le reste des humains subsistaient tant bien que mal en pillant les réserve de nourriture. Ici ce n'était plus du tout les mêmes conditions et s'il voulait enfin avoir le bonheur de dormir à nouveau dans un lit, il fallait payer. La liberté était bien subjective, on pouvait aller où on voulait du moment qu'on empruntait pas de moyen de locomotion, on pouvait manger ce qu'on voulait du moment qu'on payait pour ça, on pouvait dormir où bon nous semblait sauf aux endroits défendus par la "loi" parce que quelqu'un qui dort dehors ça fait trop tâche, et les hôtels n'étaient certainement pas gratuit non plus. La liste était encore longue, heureusement qu'il pouvait encore penser et respirer sans que ça lui coûte un bras et une jambe !

C'est en trainant sur un banc où il avait dormi la veille qu'il trouva un journal abandonné, n'ayant rien d'autre à faire, il commença à le feuilleter sans vrai but, simplement passer le temps en lisant principalement les gros titres. C'est ainsi qu'il arriva dans les annonces et qu'il soupira, il faudrait bien qu'il s'y mette à un moment donné de toute façon, il y avait peu de chance que quelqu'un veuille bien gentiment l'entretenir, à moins qu'il ne devienne gigolo peut-être ? Mais bon, obéir bien sagement à quelqu'un et qu'à cette personne là, il ne s'y voyait pas. Ce n'était pas pour rien qu'il n'avait jamais été en couple, il savait pertinemment que se consacrer à une seule personne, ce n'était pas dans ses capacités. Il n'avait jamais aimé personne de cette façon en tout cas, il s'en souviendrait tout de même. N'ayant point de grands choix pour l'avenir qui se dessinait sous peu, il regarda rapidement les annonces et s'arrêta surtout sur une en qui l'interpella : Barman.

Quelles étaient les qualités appréciés chez un Barman ? Sociable, ça c'était du tout cuit, souriant, évidemment, savoir retenir les cocktails sans se tromper, et c'est là qu'il était bon. Il avait tellement fais de fêtes étudiantes sans être étudiant, ou en boite avec des potes, qu'il avait retenu les cocktails et en avait même créé des "spéciales Aidan" qu'il ne conseillerait qu'à des avertis. Autant dire que pour lui, c'était vraiment rêvé comme job ! Seul problème c'est qu'il n'avait officiellement aucune compétence et qu'il n'avait jamais travaillé auparavant, donc peu de chance qu'il soit choisi parmi les gens expérimenté. Bon, après tout, qu'est-ce qu'il risquait au pire ? Ce n'est pas comme s'il allait tomber sur des mafieux qui allait lui trouer la peau au moindre faux pas, pas vrai ?

Dis-toi que t'as aucune chance et fonce.

C'est donc ainsi que Aidan fit parvenir son CV et allez savoir par quel miracle, il a été rappelé, choisis parmi tant d'autres pour passer un entretien ! était-ce la peine de signifier qu'il n'avait jamais passé d'entretien jusque-là et que ça lui convenait très bien ? Probablement que les deux bières avant l'entretien n'étaient pas absolument indispensable, mais bon, s'il avait eu de quoi se faire un joint, il l'aurait fais ! C'était tout le problème d'être à sec, on ne pouvait pas se détendre comme on le voulait, c'était vraiment triste, il espérait pouvoir remédier à la situation assez vite. Il arriva à l'entretien, là où d'autres personnes venant pour le même poste qui le regardèrent avec un certain dédain. Il les salua avec un grand sourire, ce qui n'arrangea pas vraiment les choses, Aidan se demandait si c'était parce qu'ils étaient en "compétition" ou parce qu'ils avaient un balai dans le cul. Probablement les deux. La première fille sortie rapidement, pas une bonne expérience sans doute, la deuxième ne fit pas long feu non plus et ressortie pratiquement en pleurs, c'est sûrement là qu'il se dit que quelque chose était louche par ici.

Il suivit instinctivement la fille alors que le troisième candidat entrait, il lui proposa un mouchoir.

- Une femme est bien plus belle lorsqu'elle sourit, et puis ton maquillage coule.

Un peu gênée, la femme se calma en épongeant ses larmes, puis elle commença à lui raconter ce qu'il s'était passé dans le bureau, et la façon dont ils l'avaient traité, ce qu'il ne comprenait pas vraiment. Si une femme avait des atouts, autant s'en servir, non ? ça prouvait ça confiance en elle, et fidéliser le client c'était aussi une sorte de séduction. Il n'était pas barman mais il savait qu'une belle fille pouvait mieux rapporter qu'un gars qui sait bien servir. Est-ce qu'ils s'y connaissaient ces gars-là ? Ou alors ils avaient des copines jalouses ? En tout cas, il revint à l'endroit avec le numéro de la fille en poche, et apparemment ils n'avaient pas encore fini avec le vieux monsieur. Ce n'est que quelques minutes plus tard que la porte s'ouvrit sur la personne qui était sûrement le choix le plus envisageable pour les deux hommes faisant passer l'entretien, surtout vu le regard qui lui jeta comme si c'était déjà dans la poche. Le proprio vint le saluer en se présentent, il lui serra la main assez fermement mais pas trop, sûr de lui mais pas au point de forcer la poigne sur le type en face de lui qui n'avait pas vraiment l'air commode, il lui sourit, parce qu'on lui avait appris qu'un sourire pouvait nous faire sortir de bien des situations.

- Enchanté, messieurs.

Répondit-il lorsqu'ils s'étaient présentés, puis il prit place comme le co-proprio l'avait invité, passant une main dans sa tignasse brune pour la remettre un minimum en plus, il eut envie de rire lorsqu'il lui dit qu'on garde le plus souvent le meilleur pour la fin, il avait plutôt l'impression d'être la cinquième roues du carrosse, mais probablement que les deux hommes ne l'avaient pas encore compris à cette étape, après tout ils ne savaient pas ce que lui, savait. Tout ce qu'ils avaient c'était un bout de papier un peu flou.

- Hé bien... par où commencer ? J'ai dû faire face dernièrement à des changements drastiques dans ma vie, vous ne le croirez peut-être pas mais dans la ville où j'étais avant, une épidémie étrange s'est répandue et les habitants touchés devenaient cannibale. C'était assez horrible, surtout pour moi qui n'était en rien débrouillard et qui ne m'était jamais battu auparavant, franchement je pensais que c'était la fin.

Après tout, il lui avait demandé son histoire, pas ses compétences. Il s'en fichait peut-être, difficile à deviner derrière son regard bleu acier à faire froid dans le dos, il avait presque l'impression d'être menacé alors qu'il n'était là que pour répondre à une annonce.

- Mais j'ai survécu, j'ai montré que finalement j'en étais capable, tout ce que je veux faire aujourd'hui c'est quelque chose qui me plait, et si les cocktails c'est pas trop votre truc c'est pas grave, je m'adapterais.
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MessageSujet: Re: Barman wanted ∇ Ft. Aidan Hearst Barman wanted ∇ Ft. Aidan Hearst EmptyJeu 7 Oct - 12:47
Barman Wanted @Aidan Hearst, Thomas Shelby & Arthur Shelby (PNJ)

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Assis droit sur sa chaise, le chef du clan Shelby observait sans broncher le jeune homme et aspirant barman pour le Garrison Tavern. Sa cigarette faisait des aller-retour répétés de sa main vers ses lèvres et ses yeux clairs clignaient rarement. Impassible et silencieux, il écoutait. A l’opposé, son frère et gérant du bar était plus agité, changeait régulièrement de position sur sa chaise, se râclait la gorge et buvait souvent, résultat d’une addiction et d’une faiblesse ramenées de France après la Première Guerre Mondiale et les horreurs traversées. C’était la boisson et la boxe qui avaient toujours su faire tenir l’aîné des frères Shelby. Tommy, lui, c’était la nicotine et les affaires. Complémentaires sur bien des points, il n’en restait pas moins que, tout gérant qu’il soit, le dernier mot appartenait toujours à Thomas Shelby. Toujours. Qu’il s’agisse du Garrison Tavern, de la Fondation Grace Shelby, des affaires des Peaky Blinders ou de la Shelby Brothers Company Ltd.. Tout, absolument tout, passait entre ses mains et devant son regard indéchiffrable. Même maintenant, pour ce dernier entretien d’embauche, le jeune homme qui lui faisait face allait vite comprendre que, bien qu’étant le directeur de l’établissement, ce n’était pas Arthur qui aurait le dernier mot sur la candidature retenue.

En guise de préambule, Thomas l’avait invité à parler de lui, à se présenter. Vu le discours qu’il tenait, Thomas comprit que ce n’était pas un New-Yorkais pure souche qu’ils avaient en face d’eux, mais bel et bien un individu comme eux, extrait de force de son univers sans qu’on ne sache réellement pourquoi ni comment. Visiblement, le sien était assez…apocalyptique. Un monde en perdition qui le força à se battre. Une épidémie. Et pourtant, il avait survécu et était prêt à s’adapter à n’importe quel nouvel environnement, y compris le leur et leur carte de boissons loin des bars en vogue de la ville et leur liste à rallonge de cocktails imbuvables, qu’ils soient avec ou sans alcool.

- Je vous crois, répondit-il après quelques secondes de silence, hochant doucement la tête. Je suis ici depuis suffisamment longtemps pour savoir que la plupart des habitants de cette ville ne vienne pas d’ici, ni de ce pays ou même de cette époque…Comme nous, pas vrai Arthur ?

- Vrai.

Il porta sa cigarette à ses lèvres et fuma ce qu’il en restait avant d’écraser le mégot encore fumant dans le cendrier posé sur la table et qui en était déjà remplis. Sans attendre, il sortit de sa poche une boîte en argent ciselé, magnifique et précieux présent de sa défunte épouse Grace Shelby, en prit une nouvelle cigarette et l’alluma avant de poursuivre :

-  La…déco des années 20 de la vieille Angleterre est voulue. C’est de là que nous venons, de ce putain de Birmingham des années 20.

A ses côtés, Arthur ricana avant de lever son verre à leur ancienne vie là-bas et de boire à sa santé :

- A c’putain d’Birmingham et à c’putain d’New York !!

Il vida d’un trait son verre de whiskey et le reposa avec fracas sur la table en bois. Thomas, lui, restait de marbre et ne jeta pas même un regard ni l’ébauche d’un sourire à son frère. Toute son attention était focalisée sur Aidan Hearst :

- Je me contrefiche que vous n’ayez jamais fait ce boulot avant. Servir des verres, c’est à la portée de tout le monde. Vous apprendrez. Mais vous savez quoi, Monsieur Hearst ? dit-il en se penchant en avant, appuyant ses avant-bras sur la table. Vous me plaisez bien. Vous êtes un battant, vous persévérez. Survivre dans un monde gangréné par la maladie et les cannibales…Pour avoir vécu le chaos d’une guerre, on sait ce que survivre signifie. Maintenant, en ce qui concerne le Garrison, c’est pas trop un survivant ou un type qui sait se battre qu’on recherche. Pour ça, on a déjà ce qu’il faut…entre nous. En revanche, on recherche quelqu’un qui sait rester discret, qui fait preuve d’observation. Vous avez l’air d’un type facilement abordable, sociable. Vous inspirez confiance. Ce sont de bonnes qualités de départ mais êtes-vous observateur ?

- Et discret ? rajouta Arthur en plissant les yeux.

- Vous n’êtes pas dans un simple bar, Monsieur Hearst. C’est aussi un lieu de rencontres pour nos…affaires.

La cigarette coincée entre ses lèvres, ses doigts s’entrelacèrent entre eux et se posèrent sur son élégant veston noir, duquel dépassait la chaîne en or d’une montre à gousset :

- Avez-vous déjà entendu parler des Peaky Blinders, Monsieur Hearst ?


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MessageSujet: Re: Barman wanted ∇ Ft. Aidan Hearst Barman wanted ∇ Ft. Aidan Hearst EmptySam 13 Nov - 22:13
L'ambiance et même cet homme devant lui ne le mettait pas vraiment à l'aise, il y avait quelque chose qui lui faisait comprendre que ce n'était pas quelqu'un à prendre à la légère et qu'il devait probablement faire attention à ce qu'il disait, pas seulement pour avoir le job mais aussi pour rester en vie. Il était un bon vivant, surtout maintenant qu'il était de nouveau libre comme l'air, il n'avait pas envie de tout foutre par terre en employant des mauvais termes ou une mauvaise tournure de phrase qui le mettrait dans une posture plus que fâcheuse. Il tenait à la vie et n'était pas si sûr que cela valait le coup de le mettre ainsi en péril pour quelques dollars histoire d'avoir un toit au-dessus de la tête. Mais en même temps, c'était l'occasion de savoir s'il savait vraiment s'y prendre avec les gens ou si finalement ça n'avait été dû qu'à de la chance.

Il esquissa un sourire, au moins cet homme le croyait, il apprit ainsi qu'il venait lui aussi d'un endroit différent, d'une époque différente, il n'avait pas de mal à le croire non plus. Il allait lui demander d'où il venait mais eut sa réponse avant, en effet il devait être un peu déstabilisé avec toutes les avancées technologique depuis les années vingt, il n'était d'ailleurs pas très sûr de connaitre cette époque. ça remontait trop loin et il n'imaginait pas un jour rencontrer des gens ayant vécu à cette époque largement révolu, parce que logiquement ils étaient soit mort soit très vieux. Mais l'homme devant lui n'était ni l'un ni l'autre, il était fringuant et avait encore un bal avenir devant lui. Il se demandait aussi si c'était pour cela que la fille était sortie en pleurs, il savait qu'à cette époque les femmes ne pouvaient pas s'habiller comme elles voulaient, peut-être l'avaient-ils trouvé trop indécente ?

Il observait les deux hommes, l'un qui sifflait son verre - le chanceux - en trinquant à son pays, l'autre semblant un peu perdu dans ses souvenirs mais toujours concentré sur lui comme s'il avait décidé de lire en lui. Il n'y avait pourtant pas grand chose à y lire, il n'avait aucune intention cachée, aucune idée derrière la tête à part celui d'avoir de quoi vivre. Il était quelqu'un d'assez simple qui ne cherchait pas les ennuis, même si ça ne signifiait pas toujours que les ennuis ne le trouvaient pas. Il voulait vivre ainsi, simplement, sans avoir à se soucier du lendemain parce que de toute façon, qui peut être sûr d'avoir un lendemain ? Qui pouvait lui assurer que demain il ne se réveillerait pas à nouveau dans son monde plein de zombie ? Thomas l'informa qu'il lui plaisait, ce qui aurait pu être mal interprété dans d'autres circonstances mais il était pratiquement sûr que ce n'était pas ce qu'il avait voulu dire.

- être discret et rester discret sont deux choses différentes, on ne peut pas dire que je sois quelqu'un de discret par contre je saurais être discret sur vos affaires, après tout ce sont vos affaires, pas les miennes.

Il haussa les épaules, avec un peu de nonchalances mais pas trop, c'était vrai après tout, ce n'était pas ses oignons donc il ne s'en mêlerait pas à moins qu'ils lui demandent, et il n'était certainement pas une balance, surtout que lui-même se baladait avec de la drogue. Il n'apprécierait certainement pas qu'on le balance ou qu'on se mêle de ses affaires, donc il savait rester discret, et pourtant il mettait le feu lors des soirées.

- Observateur, je ne me suis jamais posé la question mais oui, je suppose que je le suis.

Sans même s'en rendre compte, il observait toujours les gens avant de les appréhender, savoir quelle était la meilleure façon de les aborder pour entretenir une conversation avec elles ou plus que ça, parfois il arrivait même à savoir quelle préférence sexuelle elles avaient juste ainsi. C'était assez amusant et ça facilitait toujours la discussion.

- Non, ça ne me dit rien. Qu'est-ce que c'est ?

Demanda-t-il finalement, purement innocent.
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MessageSujet: Re: Barman wanted ∇ Ft. Aidan Hearst Barman wanted ∇ Ft. Aidan Hearst EmptySam 18 Déc - 16:36
Barman Wanted @Aidan Hearst, Thomas Shelby & Arthur Shelby (PNJ)

"Longneck, ice cold beer never broke my heart, Like diamond rings and football teams, Have torn this boy apart, Like a neon dream it just dawned on me, The bars and this guitar, And longneck, ice cold beer never broke my heart."

Au moins, il est honnête, s’était dit Tommy en entendant le dernier candidat du jour avouer clairement ne pas être quelqu’un de discret. Inclinant la tête légèrement sur le côté, il se mit à observer ce visage jeune qui devait tant plaire aux filles, et peut-être même aux garçons pourquoi pas. Ces choses-là le dépassait et n’avait pas à se savoir. De son temps, la haute société n’en parlait jamais alors que, paradoxalement, c’était elle qui se livrait le plus souvent à des soirées décadentes pouvant virer à l’orgie. Il l’avait même constaté de ses yeux et c’était, entre autres, ce qui l’avait fait comprendre que jamais les Shelby ne seront acceptés dans l’univers des riches et bien-nés britanniques. Sa famille était bien trop authentique pour se prêter aux jeux des faux semblants. Les Shelby non plus, d’ailleurs, n’étaient pas tous des gens discrets. Le plus discret d’entre eux était sans doute lui-même, mais que dire de ses frères, de sa tante Polly et même d’Ada, qui lui en a fait voir de toutes les couleurs avec ses premiers penchants pour les causes communistes ? « Oh soyez rassuré sur ce point Monsieur Hearst. J’en connais dans ma famille qui sont loin d’être des modèles de discrétion. ». Son regard glissa vers son aîné qui se resservait à boire. « Mais c’est vrai. Être discret et savoir rester discret sont deux choses différentes. C’est surtout cette seconde nuance qui m’intéresse dans le cas présent. »

Il se pencha en avant pour écraser son mégot dans le cendrier et, pour la première fois depuis le début de cet entretien, ses mains restèrent sur la table plutôt que de partir en quête de son briquet ainsi que de la boîtier métallique offerte par Grace dans lequel il conservait ses cigarettes. « Si vous ne savez pas ce qu’ils sont, cela prouve donc bien qu’ils savent rester discrets, ironisa-t-il. Dans votre époque moderne, vous les auriez qualifié de mafia. Je n’aime pas ce terme. Il sonne trop…italien. Je préfère plutôt le terme de clan, et je suis à sa tête. ». Là-dessus, il s’interrompit quelques secondes le temps que le jeune homme intègre l’information puis désigna du doigt son frère. « Mon frère est mon bras-droit et, accessoirement, le propriétaire légal du bar. Si nous travaillons ensemble, il sera votre patron. ». Nouvelle pause durant laquelle il se râcla la gorge, la sentant encombrée par des excès de nicotine. « Le Garrison Tavern est un bar comme il y en a plein de cette ville. Mais c’est aussi un lieu de travail, vous comprenez ? Nous y avons des réunions d’affaire qui peuvent durer bien au-delà des heures d’ouverture officielles et bien sûr, nous attendrons de vous que vous restiez là, jusqu’à ce que nous en ayons terminé. Vous nous servirez à boire sans poser de questions. Vous nous préviendrez si vous voyez quelqu’un de suspect roder dans ou à l’extérieur de notre établissement. Vous oublierez ce que vous verrez, qui vous verrez et ce que vous entendrez. Faîtes tout cela et vous serez bien payé. Mieux que n’importe quel autre barman de cette putain de ville. »

Pour approuver ce petit discours, Arthur tapa deux fois du poing sur la table tandis que son frère se redressait sur sa chaise, silencieux et stoïque. Mis à part avec l’autre candidat plus âgé, Aidan Hearst était le seul à avoir entendu pareil discours. Bien sûr, Thomas était resté très vague sur bien des points. Quelles étaient ces affaires dont il avait si brièvement parlé ? Qui rencontraient-ils ? Pourquoi préférer le terme clan plutôt que mafia alors que, clairement, les Peaky Blinders semblaient répondre à tous les critères pour se voir qualifier comme tels ? Si Aidan Hearst était tel qu’il s’était décrit et n’avait que faire des affaires des autres, alors Tommy estimait que ce boulot-là était tout à fait à sa portée : servir à boire, observer et rester discret. Tout cela en étant grassement payé. Plus d’un New-Yorkais tuerait pour un job aussi confortable que celui-ci qui, pourtant, cachait bien des dangers derrière ces mystérieuses affaires traitées par le clan. Mais qu’était-ce que cela en comparaison de l’apocalypse qu’il disait avoir connu dans son univers ?

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Aidan Hearst
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MessageSujet: Re: Barman wanted ∇ Ft. Aidan Hearst Barman wanted ∇ Ft. Aidan Hearst EmptyLun 17 Jan - 23:16
Thomas n'avait pas besoin de le lui dire pour qu'il devine que sa famille n'était en rien un modèle de discrétion. Il suffisait de voir les deux monsieur devant lui pour comprendre qu'ils sortaient du lot, même le bar en lui-même n'était pas ce qu'on appelle "passe-partout". Est-ce que Thomas, lui, était surpris en apprenant que Aidan n'était pas quelqu'un de discret ? Parce que franchement, ça se voyait. Il était honnête évidemment, il ne voyait pas l'utilité d'être un menteur, surtout que la personne à qui il mentirait apprendrait la vérité tôt ou tard. Il valait mieux dire directement les choses, même si c'était difficile, plutôt que se retrouver devant une situation compliqué plus tard ou devoir faire attention à tout ce qu'on dit. Il avait beau retourner ça dans tous les sens, si jamais il venait à mentir, il se ferait certainement cramer dans la minute. Autant ne pas prendre le risque, surtout avec des gangsters.

- Vous n'avez donc pas de soucis à vous faire là-dessus, j'ai moi-même besoin de rester discret pour certaines choses, donc on est sur la même longueur d'ondes.

Ou presque. C'est vrai que les mots "mafia" ou "clan" lui indiquait clairement qu'il avait affaire à des gangsters largement au-dessus du niveau de ses petits crimes lui qui était un grand consommateur de drogue. Il y avait aussi d'autres choses dans son casier judiciaire comme exhibition et d'autres crimes mineurs. Il n'avait cependant jamais tué quelqu'un avant cette histoire de zombie et il n'aimait vraiment pas la violence. Bien que Thomas lui indiquait qu'il serait fort bien payé, il s'en fichait un peu, du moment qu'il était payé suffisamment pour avoir un coin où se reposer de temps en temps c'était suffisant. Il ne serait de tout façon pas très souvent chez lui de ce qu'il comprenait et en-dehors du boulot il irait certainement faire la fête.

- Donc, vous voulez me payer cher pour servir à boire à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, ouvrir l'œil et ne surtout pas me mêler de vos affaires ?

Dis comme ça, il avait presque envie de demander où était l'arnaque. Il comprenait la dangerosité du truc, qu'il allait travailler pour eux, qui était donc des gangsters, et que s'il commettait un impair alors il en paierait peut-être de sa vie. Cependant, il suffisait de ne pas commettre d'impair et de ne surtout pas se mêler de leurs affaires. ça lui paraissait dans ses cordes, et puis comme il vivait en ce moment dehors et qu'il avait besoin d'argent, il n'allait sûrement pas avoir la patience de chercher un autre job certainement plus compliqué et moins bien payé. S'il sortait ici sans avoir obtenu l'emploi, il n'allait pas chercher un autre avant au moins une semaine.

- Pour ce qui est d'oublier ce ne sera pas un problème, je voudrais juste éclaircir un point, est-ce que j'aurais à me battre ? Parce que techniquement, je sais, mais je suis plutôt quelqu'un de pacifique alors si je peux m'en passer...

Comment il voyait les affaires de mafias ? Il imaginait qu'un clan pouvait débarquer à l'improviste dans le bar pour tirer sur tout le monde. Et qu'est-ce qu'il faisait si un "client" lui reprochait quelque chose et commençait à lui chercher des embrouilles ? Il pourrait toujours faire appel à son charme naturel, mais est-ce que ça marcherait ? C'était à voir.
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