(TARLOS) I'll find you no matter where you are

En me couchant hier soir dans les bras de Carlos, je n'aurais jamais pensé me réveiller dans une chambre d'hôpital seul et pourtant c'était ce qui était arriver. Qu'elle a été ma panique lorsque le médecin m'a annoncer que j'étais là pour une overdose, que j'ai été emmener seul et qu'il n'y avait ni mon père, ni Carlos. Une overdose sérieusement ? Cela fait plus d'un an que je suis clean, que je me rends à mes rendez-vous avec le thérapeute chaque semaine et que je vais aussi aux narcotiques anonymes, alors ce qu'il me raconter n'avait pas de sens. Je n'avais pas retouché aux pilules, je le savais, car hier soir j'étais avec Carlos à Austin et maintenant voilà que je me réveille à New-York. Tout ça me faisait peur, j'ignorais ce qu'il pouvait se passer et c'est pour cette raison que je n'ai pas attendu le retour du médecin pour partir. Je me suis enlever la perfusion que j'avais dans le bras, j'ai aussi enlevé cette vieille blouse d'hôpital et c'est en découvrant les fringues de mon arrivé que je froisse les sourcils. "Mais c'est quoi ce bordel ?" C'était exactement la tenue que je portais lors de ma dernière overdose. Qu'est-ce qu'il pouvait bien m'arriver bon sang ? Je soupire d'agacement en enfilant les fringues que j'ai trouvé ainsi que les baskets. Je sors discrètement de la chambre et parviens après m'être cacher plusieurs fois jusqu'à la sortie. Heureusement qu'il ne faisait pas trop froid puisque j'avais simplement un t-shirt blanc et un bas de jogging gris. Je commence à marcher dans les rues de New-York à la recherche de mon père et de Carlos complétement puisque je n'avais même pas de quoi téléphoné puisque je n'avais pas mes papiers ni mon porte feuille, j'avais rien du tout. J'arrête quelqu'un dans la rue pour lui demander si je peux téléphoné, ce qu'elle accepte et je la remercie. Je compose le numéro de mon père fronçant les sourcils lorsque j'entends la voix qui dit que ce numéro n'est plus attribué, j'appelle ensuite Carlos et la même chose. Bordel, mais qu'est-ce qui se passe là ?! J'essaie une dernière fois en essayant ma mère, mais pareil que pour mon père et Carlos. Je rends le téléphone à la personne qui reprend sa route pendant que moi je continue de marcher à la recherche de réponses. Je finis par arriver devant le commissariat et je soupire de soulagement alors que je rentre à l'intérieur. Directement, je demande s'ils connaissent un Carlos Reyes, leur réponse est non, je demande s'il est possible de contacté le poste de police de Austin et la réponse est encore non. Je serre les dents, je ressors du poste de police complétement désemparer, mal, pas bien du tout. Il ne faut pas que je panique, je dois rester calme. Je reprends donc ma route et c'est là que j'arrive aux abords d'une forêt et je me retrouve surpris. "Une forêt en pleins New-York ? Mais bordel où est-ce que je suis !!" Dis-je en rageant super fort, après quelques minutes d'hésitation, je rentre finalement à l'intérieur, je commencer à avancer et plus j'avance, plus je me sens au point de tomber à genoux par terre tellement j'ai forcé, j'ai la tête qui tourne, j'en viens même à vomir. Je me redresse avec difficulté et rebrousse le chemin, bizarrement je me sens beaucoup mieux. Je réessaye une fois, deux fois, trois, des dizaines de fois et c'est toujours le même schéma. J'en ai vraiment marre là. Je continue d'avancer continuant à paniqué, je me rends devant le domicile de mon père qui est à un autre nom, la caserne que mon père a rebattit, pareil, pas mon père, devant mon appart qui pareil n'est plus à mon nom et pareil pour ma mère. Je passe la journée à chercher partout, mais rien. J'atterris finalement jusqu'à Central Park, je suis pas bien du tout, je sens que je vais craquer, mais je dois tenir bon. De plus, le soleil est entrain de se couler, les températures se refroidisse ce qui fait que je suis congelé. Je m'assois sur un blanc alors que je place mes mains contre mon visage. Je vais vraiment pété un câble à être bloquer ici. Est-ce que Austin était le fruit de mon imagination ? Est-ce que je confonds le réel et l'irréel ? J'en c'est foutrement rien. Je relève la tête toujours frigorifier alors que la nuit pointe son nez. Qu'est-ce que je vais faire bon sang ?! Les larmes me monte aux yeux, je ne suis pas bien du tout, mais je souffle un bon coup. Je redresse ma tête et c'est là que mon coeur ratte un battement. Je me frotte les yeux pour voir si je ne rêve pas et non, il était là. Je me lève directement du banc les larmes aux yeux en m'approchant pour qu'il m'entende et me voit. "Babe ?" Lorsque finalement il pose ses yeux sur moi, ni une, ni deux, je craque littéralement en courant jusqu'à lui et en me jetant dans ses bras. "Oh mon dieu baby... babe... baby, je t'ai enfin retrouvé, tu es enfin là, tu es enfin avec moi, j'ai... j'ai eu si peur de ne plus jamais te revoir." Je le serre si fort tellement je ne veux plus le lâcher maintenant que je l'ai retrouvé. Je n'ai même pas pu m'empêcher de fondre en larmes lorsque je n'ai vu. Je me recule pour l'observer et je pose mes mains sur son visage. "Tu es vraiment là..." Je suis vraiment ému pour le coup, je crois que c'est la première fois qu'il me voit comme ça, mais entre le stresse, la fatigue, le froid, le fait que je n'ai rien avalé depuis hier soir, autant dire que mes nerfs étaient à vif et que je ne retenais rien là, donc Carlos me voyait chialer comme un gosse pour le coup. Je colle finalement mes lèvres contre les siennes pour un baiser langoureux et je ne le lâche plus du tout. Je colle finalement mon front au sien, je reste coller contre lui et j'ouvre finalement les yeux pour le regarder alors que j'ai décollé mon front du sien. "Où est-ce que tu t'es réveiller toi ? J'ai tellement eu peur en voyant que j'étais ici que Austin n'est été qu'un rêve et qu'en réalité, je me trouvais toujours à New-York, mais je suis soulagé de te voir là babe, tu m'as tellement manqué, je... je... j'ai eu la peur de ma vie." Dis-je en me blottissant à nouveau contre lui, mettant mon visage dans son cou pour sentir son odeur que j'aime tant. Je n'ai plus du tout envie de le lâcher. J'ai retrouvé mon âme soeur, c'est terminé, je ne le lâche plus de peur de le perdre à nouveau.