[HOT] Sortie au ciné en amoureux (Harringrove)

Billy Hargrove ▲ @Steve Harrington  

Le jeune Hargrove observa sa moitié avec un beau sourire en coin et le regard assez coquin. « Hum, surtout celles de ce style oui ! » Dit-il en passant légèrement sa langue sur sa propre lèvre. Parce que oui comme d’habitude, il trouvait son compagnon plus que désirable en cet instant. Si bien qu’il s’amusa à caresser son torse, ce qui n’allait sans doute pas calmer ses ardeurs puisque ça lui mettrait probablement l’eau à la bouche, mais c’était plus fort que lui, il ne pouvait s’empêcher de se montrer tactile envers le brun.  Ce qui est assez réciproque en fait.

Billy Hargrove ▲ @Steve Harrington  

Étant donné qu’ils avaient fini et s’étaient bien amusés, il était temps pour les garçons de rentrer à la maison. Le Californien reluqua son mec pendant que ce dernier se rhabillait. Quel dommage de devoir remettre leurs vêtements puisqu’il n’avait plus le droit à cette magnifique vue sur le corps sublime de son petit ami. Puis, ce fut à lui de passer ses habits afin d’être décent pour reprendre la route. Il enfila également ses chaussures puis ils remirent en ordre la voiture. Le vendeur se chargea d’aller jeter à la poubelle le popcorn souillé pendant que son compagnon s’occupait de redresser la banquette arrière pour lui rendre son apparence habituelle. Une fois, tous les deux installés à l’avant, le blond ne tarda pas à démarrer sa caisse et à reprendre le même chemin que tout à l’heure, mais dans l’autre sens afin de retourner chez eux tout en écoutant la musique puisque comme d’habitude le conducteur l’avait mise n’aimant pas rouler sans. En entendant la plainte de Steve, le maître-nageur tourna le regard vers lui. « Ah ouais ? Ça te fait mal ? » S’enquit-il un peu. « Si c’est le cas, désolé, j’ai pas fait attention… » Sans doute qu’il s’était laissé emporter dans le feu de l’action. Quand son king posa sa main sur sa cuisse, à nouveau le rebelle le regarda et lui fit un petit sourire tout en venant mettre sa main par-dessus pendant qu’il le pouvait puisque par la suite il allait en avoir besoin pour changer les vitesses.

Les amoureux ne mirent pas très longtemps à retourner au bercail. Billy stationna son véhicule et coupa le moteur qui par la même occasion arrêta son autoradio. Il prit ses clés puis quand son copain fut descendu, il se pencha pour attraper leurs bouteilles de soda. Ensuite, il sortit de sa voiture et la ferma à clé. Il rangea son trousseau dans l’une de ses poches. En comprenant le regard de défi que lui lançait Harrington, le rebelle bloqua les boissons avec son bras, serrant celui-ci contre lui afin d’empêcher une catastrophe. Il se lança à la poursuite de Steve, amusé par cette petite course inattendue. Sauf qu’en le rejoignant dans le hall de l’immeuble, il se stoppa et avec sa main – du côté de son bras libre – il empêcha le brun de tomber. « Il va falloir bosser ton équilibre king Steve ! » Le taquina-t-il avec le sourire juste avant que son conjoint ne capture ses lèvres. Évidemment, le bad boy répondit avec grand plaisir au baiser qu’il lui offrait. Sans cesser celui-ci, ils montèrent dans l’ascenseur et du coin de l’œil, le Californien chercha le bouton de leur étage et appuya dessus. Quand les portes se refermèrent, il posa sa main disponible sur la joue de son partenaire et intensifia leurs embrassades en glissant sa langue dans la bouche de son amant, toujours désireux d’en avoir plus. Surtout qu’il adore quand ils s’embrassent langoureusement. Au ding qui résonna, le rebelle ouvrit les yeux et put remarquer qu’ils étaient arrivés à bon port. Il enleva sa main de la bouille du beau gosse et le tira par le col de son t-shirt pour le faire sortir avec lui. Une fois dans le couloir, il mit fin à leurs folles embrassades. « On reprendra ça après… » Dit-il de sa voix chaude tout en relâchant le haut de son amant. Ensuite, ils se dirigèrent ensemble jusqu’à leur appart. Le blondinet attrapa ses clés qu’il glissa dans la serrure puis laissa le soin à l’autre garçon d’ouvrir la porte étant donné qu’il tenait toujours leurs sodas. « Prends mes clés ! » Fit-il alors qu’il s’engouffrait à l’intérieur de l’appartement. Aussitôt, il se dirigea en cuisine et rangea les bouteilles au frais.

Quand le nageur-sauveteur ressortit de la cuisine, il remarqua quelque chose dans le couloir de l’entrée. Il arqua un sourcil tout en regardant des baskets qui lui étaient inconnues. Ce n’étaient ni les siennes, ni celles de son homme et encore moins celles de Max vu que la taille à première vue ne correspondait pas. Cela le fit tiquer d’un seul coup. « Elles sont à qui ces grolles ? » Demanda le jeune Hargrove qui se montra de nouveau soupçonneux. À tel point, qu’il se dirigea directement vers la chambre de sa demi-sœur puisqu’il repensa au fait qu’en début de soirée elle lui avait paru bizarre et qu’il avait suspecté un coup fourré. Il ne prit pas la peine de frapper à sa porte qu’il ouvrit rapidement. « Maaax ! » Gronda-t-il en entrant dans la pièce. Son regard se fit mauvais quand il vit Henderson allongé sur le lit avec elle et même en train de l’embrasser. Forcément, il se mit à imaginer qu’ils allaient passer à l’action juste après. « Qu’est-ce tu fous là toi ? » Interrogea-t-il le jeune Dustin. Ce dernier visiblement surpris montra des signes de panique dans le regard. « Rien ! J’étais juste venu dormir avec Max ! » Chercha à se défendre le bouclé, sans grand succès. « C’est ça ! J’vais te virer d’ici à coup de pompe dans le cul ! » Dit-il en se rapprochant de l’ado qu’il empoigna sans aucun ménagement afin de le forcer à se lever du lit de la petite rousse. « Mais aïe ! Lâche-moi Hargrove ! » Se plaignit le gamin en essayant de retirer la main du blond de son poignet. Évidemment, certainement alerté par la manière forte avec laquelle son mec avait parlé, le vendeur était arrivé lui aussi. « Je t’avais dit qu’elle mijotait quelque chose ! Tu voulais pas me croire eh ben voilà ! Ces deux petits cons s’apprêtaient à forniquer ! » « Quoi ? Mais non ! Absolument pas ! On voulait juste dormir dans les bras l’un de l’autre ! » Tenta d’expliquer le jeune garçon en affichant un air de dégoût rien que d’imaginer à quoi venait de penser le demi-frère de sa copine.